Pour des milliers de familles, la date du 1er avril est synonyme d’inquiétude et de stress: c’est la fin de la trêve hivernale qui a débuté le 1er novembre dernier. Sous le coup d’un avis d’expulsion, elles vont devoir quitter leur logement. Pour celles qui n’auront pas pris les devants elles en seront contraintes par les forces de l’ordre.
L’habitat partagé : une solution pour permettre à certains de remonter la pente et retrouver ses marques
Aujourd’hui nous devons faire preuve de solidarité car la perte d’un emploi ou du salaire, un décès, une maladie sont autant de raisons pouvant toucher chacun d’entre nous et qui font tomber les ménages dans la spirale infernale du loyer impayé.
La plupart de ces familles mais aussi des personnes seules ou des parents isolés ont peu ou pas de moyens mais ces moyens peuvent être partagés avec une autre personne mettant à leur disposition une chambre ou une partie d’un logement.
Des compétences à valoriser pour sortir de la spirale infernale
Le logement solidaire peut permettre à certain de remettre le pied à l’étrier et de fuir cette sinistrose.
Pour l’hébergeant qui reçoit c’est, au-delà de l’acte humanitaire et sociale, une réelle volonté de partager et aussi lui permettre de bénéficier d’une aide éventuelle comme une simple présence.
Pour le Postulant à cet habitat solidaire c’est un moyen de valoriser ses compétences et de profiter d’un loyer très avantageux.
Pour vous assurez, Pensez à contractualiser votre nouvelle relation.
Les hébergeants propriétaires ou locataires avec l’accord de leurs propriétaires ainsi que les locataires ont des droits et des devoirs. Faites un contrat de bail ou tout autre contrat utile à votre relation. Les contrats quand ils sont faits à travers une plateforme de mise en relation sont toujours négociés à des prix très avantageux ce qui permet un échange gagnant-gagnant pour les deux parties.